Aux dernières nouvelles, le virus revient fort et avec lui la peur de la maladie voire de la mort, le stress, la privation de liberté. De nouveau la peur de ce qui a peut être vécu, pour soi ou un proche, elle revient des profondeurs et aggrave la situation présente, La peur qui devient la peur de l'autre, d'un autre ranimant peut être une peur d'un autre plus profonde, oubliée dans un coin de l'enfance.
De nouveau encore la peur de la mort, réactivant celle vécue parce que les mots un jour n'ont pas été dits, parce que l'on ne sait plus, réellement ce qu'est la mort.
De nouveau le stress de cette incertitude du lendemain, mais peut être celui d'une insécurité profonde, un manque quelque part jamais réellement comblé pour affronter l'incertitude calmement.
Et de nouveau la perte de la liberté, celle simple et légitime de vouloir vivre, donnant des réactions opposées. La tentation de la rébellion de celui qui se pense tout pouvoir, centré sur son seul droit à sa seule liberté oubliant l'autre. La soumission totale, je ne peux plus rien faire, vivre.. je meurs et en silence.
Se connaître, se libérer de ce qui pourrait être encore actif en soi, c'est ce que peut permettre ce virus une nouvelle fois, pour que ce soit encore la vie qui gagne, mais encore grandie, encore plus consciente !
Parce que, ne l'oublions, pas la définition de la santé pour l'OMS ne résume pas qu'à celle physique, mais aussi au bien être mental et social, toute cette connaissance de soi permet cette santé globale.
Les soins énergétiques permettent tout autant de faire revenir à la surface que de se libérer, la parole aidant, de ce qui peut provoquer encore peurs mortifères, stress trop grands qui paralysent, libertés reprises de force et pas toujours justement ou abandonnées.
Revivre, mais vivre encore mieux, sans doute si ce virus vient nous reparler, c'est que tout n'a pas été dit mais de soi à soi.